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Par Gil1 le 17 Janvier 2006 à 11:51
Je t'avais rêvé
Je t'avais vraiment cherché
Je ne t'avais pas trouvé
Tu ne devais pas exister
J'ai donné pour ne rien regretter
Le temps a passé, je n'ai plus espéré
J'ai fait semblant d'oublier
Mon chemin me semblait tracé
J'avais presque renoncé
Accepté l'idée de la fatalité
Je ne savais plus s'il fallait crier ou abandonner
Je ne savais plus pleurer ou prier
Et puis c'est inouï, on me l'avait dit
Tout peut arriver dans la vie
Je n'avais rien appris
Aujourd'hui, j'ai tout compris
Tu es bien là
Tu es dans tous mes pas, dans l'envie de mes bras
Tu es la lumière de mon chemin
Ma première pensée de ce matin
Tu es mon sourire ... et ce soupir
Gil DEF. 17.01.2006
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Par Gil1 le 17 Janvier 2006 à 11:27
Ce soir, j'ai laissé à la lune ronde
Les mots de mon âme profonde
In extenso rien que pour toi
Tu comprendras : elle te sourira
Comme la première fois
C'est un message du minimum
Il te dira le maximum
Approche toi
Deux ou trois mots ... tout bas
Ad libitum
Et au post scriptum
Les secrets de mes désirs
Tu sauras les recueillir
Au bout de tes soupirs
© Gil DEF. 16.01.2006
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Par Gil1 le 7 Janvier 2006 à 20:38
J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de couleurs
Pour chasser mes jours tristes pour changer mes jours gris
Pour oublier l'ennui pour retrouver l'envie
Pour peindre l'éclaircie et repeindre ma vie
J'ai trouvé trop souvent des nuits de brouillard
Le fond d'un long couloir qui s'obscurcit du soir
La fumée d'un comptoir au bar des idées noires
Le cafard des tiroirs en deuil de mes espoirs
Il fallait toi, et l'envol des premiers mots bleus
Tu étais l'arc en ciel dans la larme de mes yeux
J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de chaleur
Des mots pour le présent l'attention qu'on attend
L'intuition qui comprend l'intention qui surprend
Le partage d'un moment l'émotion d'un élan
J'ai trouvé trop souvent le jour éteint du soir
Les pas flous des hasards qui passent sans me voir
Le froid d'un hall de gare de l'hiver d'un trottoir
L'absence des regards qui givrent les miroirs
Il fallut toi et le merveilleux de nos aveux
Et tu es l'étincelle du feu de mes yeux
J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de tendresse
Une réponse à un SOS de détresse
Un geste qui caresse de tant de gentillesse
Un vrai lien qui se tresse de délicatesse
J'ai trouvé trop souvent l'excuse et le prétexte
Les mots de politesse les silences pour le reste
Le néant des promesses le bon conseil qui blesse
Les inutiles adresses l'angoisse qu'on vous laisse
Il fallut toi et deux ou trois mots pour être heureux
Tu es la langue belle des secrets de nous deux
J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de bonheur
Un rayon de soleil la lumière nouvelle
Un envol d'hirondelles un gout de mirabelles
Un rêve de dentelle un refrain éternel
J'ai trouvé trop souvent le questionnement
le pourquoi le comment du passé des tourments
Le présent qui attend dans la fuite du temps
L'espoir évidemment sans y croire vraiment
Il fallut toi trouvant le plus profond de moi même
Toi, à l'inconditionnel pour chaque je t'aime
© Gil DEF. 19.12.2005
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Par Gil1 le 29 Décembre 2005 à 20:14
Ce soir, je te sens si près de moi
Je caresse ta voix
Tu ne m'attendais pas
J'avais tant besoin de toi
Tu me dis là bas
Tu me dis tes pas, ta joie
Tu me dis ta rue
Un objet perdu
Le bonheur inattendu
Tu me dis les enfants
Tu ris tes quinze ans
Tu me dis maintenant
Le futur au présent
Et chaque instant
Je t'aime tant
Tu me dis le jour
Ce jour
Je t'aime mon amour
Pour toujours
Tu me dis la nuit
Des étoiles à l'infini
Je te lis une poésie
Et te parles de Louis
Fou des yeux d'Elsa
Je ne verrai que toi
Je n'aime que toi
Tu es en moi
Ce soir, je te sens si près de moi
J'enlace ta voix
Je ferme les yeux
Je suis heureux
Quel bonheur nous deux !
Nos regards sur le même horizon
Baisers en frissons
Et je te prends dans mes bras
Toujours la première fois
Ta tête sur mon épaule
Un oiseau blanc décolle
Ta voix change de jour en jour
Je t'aime mon amour
Chaque mot est un encore
On le dit fort
Chaque mot est un toujours
Sur nos instants trop courts
Encore un mot te amo
Suspendre le dernier instant
J'embrasse ton dernier mot
Jusqu'au dernier écho
Te quiero te quiero te quiero
Regarder l'océan
Attendre le vent
La voile du printemps
Je t'aime tant
Ce soir, tu es si près de moi
Ici c'est là bas
Déjà
© Gil DEF. 11.03.2005
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Par Gil1 le 28 Novembre 2005 à 20:02
Comment le savoir
Multitude de hasards
Début de l'histoire
Echos d’un grand soir
Des frontières, de l’espoir
Sans pouvoir y croire
La lune opaline
La rêverie imagine
Grâce célestine
La lune messagère
Rapport des cœurs à l'envers
Printemps en hiver
La source d'eau claire
Le sursaut de la rivière
Revient la lumière
Rêve d’innocence
Eternel corps de la danse
Mystère d'attirance
L'océan immense
Voiles de l'insolence
Meurent les distances
La première fois
Jeu des caresses des voix
Seul le temps dira
Lettre de toi à moi
Les mots de soupirs tout bas
Si loin et si là
Temps en suspension
L'Intemporel des saisons
Toujours l'émotion
Le bleu et l'orange
L'étrange ciel qui mélange
Sourire d'un ange
Ames en obsession
Pensées en déraison
La révélation
Passion en moisson
Gerbes de vie à foison
Perdre la raison
Joies, soleil et pluie
La vie se fera jolie
Temps des éclaircies
Les jours et les nuits
Toi et moi toujours l'envie
Ile de paradis
Donner sans reprendre
Entendre ne pas se méprendre
Le temps peut attendre
A savoir s'apprendre
Présence et surtout comprendre
Et toujours surprendre
Message au matin
A remercier le destin
Un chemin sans fin
Parfums du jardin
Le pain et les lendemains
Tendresse des mains
Un papillon bleu
Magie du merveilleux
Et se ferment les yeux
Silences en aveux
Etincelles et le feu
Soupirs de nous deux
Recto et verso
Les poèmes les plus beaux
En deux ou trois mots
Quand les mains s'assemblent
Les sourires se ressemblent
Bien, si bien ensemble
Désirs qui s'avouent
Regards croisés comme un tout
Secrets entre nous
Souvenirs de larmes
Le bonheur est en alarme
Des vagues à l'âme
C'est un soir sans toi
Tout ce que tu es pour moi
Nos bras ont si froid
Regards sans discours
Aux gestes le seul recours
Encore et toujours
Le parfum des fleurs
Le printemps et le bonheur
Demain un ailleurs
Le présent se donne
Tout du passé se pardonne
L'avenir s'étonne
Bleu en camaïeu
Les larmes au bord des yeux
A l'essentiel, bleues
Dans la certitude
Chemin de la plénitude
Avec amplitude
Il était une fois
Ca commence comme ca
Qui vivra, verra
Conte d'avenir
Rien ne peut me retenir
La chance à saisir
Loto du destin
Un et un deux nous enfin
Codes des parfums
Le soleil couchant
L'océan et un serment
Les amants tremblant
Lune qui sourit
Etoiles pour l'infini
Parcours de la nuit
Le soleil levant
Un seul rivage et le temps
Eternellement
Et tout recommence
Le décor sans importance
Pourvu que l’on danse
© Gil DEF. 24.11.2005
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