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    Je t'avais rêvé
    Je t'avais vraiment cherché
    Je ne t'avais pas trouvé
    Tu ne devais pas exister
    J'ai donné pour ne rien regretter
    Le temps a passé, je n'ai plus espéré
    J'ai fait semblant d'oublier
    Mon chemin me semblait tracé
    J'avais presque renoncé
    Accepté l'idée de la fatalité
    Je ne savais plus s'il fallait crier ou abandonner
    Je ne savais plus pleurer ou prier
    Et puis c'est inouï, on me l'avait dit
    Tout peut arriver dans la vie
    Je n'avais rien appris
    Aujourd'hui, j'ai tout compris
    Tu es bien là
    Tu es dans tous mes pas, dans l'envie de mes bras
    Tu es la lumière de mon chemin
    Ma première pensée de ce matin
    Tu es mon sourire ... et ce soupir
     

    Gil DEF. 17.01.2006
     


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    Ce soir, j'ai laissé à la lune ronde
    Les mots de mon âme profonde
    In extenso rien que pour toi
    Tu comprendras : elle te sourira
    Comme la première fois
    C'est un message du minimum
    Il te dira le maximum
    Approche toi
    Deux ou trois mots ... tout bas
    Ad libitum
    Et au post scriptum
    Les secrets de mes désirs
    Tu sauras les recueillir
    Au bout de tes soupirs


    © Gil DEF. 16.01.2006
     


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    J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de couleurs
    Pour chasser mes jours tristes pour changer mes jours gris
    Pour oublier l'ennui pour retrouver l'envie
    Pour peindre l'éclaircie et repeindre ma vie
     

    J'ai trouvé trop souvent des nuits de brouillard
    Le fond d'un long couloir qui s'obscurcit du soir
    La fumée d'un comptoir au bar des idées noires
    Le cafard des tiroirs en deuil de mes espoirs
     

    Il fallait toi, et l'envol des premiers mots bleus
    Tu étais l'arc en ciel dans la larme de mes yeux
     

    J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de chaleur
    Des mots pour le présent l'attention qu'on attend
    L'intuition qui comprend l'intention qui surprend
    Le partage d'un moment l'émotion d'un élan
     

    J'ai trouvé trop souvent le jour éteint du soir
    Les pas flous des hasards qui passent sans me voir
    Le froid d'un hall de gare de l'hiver d'un trottoir
    L'absence des regards qui givrent les miroirs
     

    Il fallut toi et le merveilleux de nos aveux
    Et tu es l'étincelle du feu de mes yeux
     

    J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de tendresse
    Une réponse à un SOS de détresse
    Un geste qui caresse de tant de gentillesse
    Un vrai lien qui se tresse de délicatesse
     

    J'ai trouvé trop souvent l'excuse et le prétexte
    Les mots de politesse les silences pour le reste
    Le néant des promesses le bon conseil qui blesse
    Les inutiles adresses l'angoisse qu'on vous laisse
     

    Il fallut toi et deux ou trois mots pour être heureux
    Tu es la langue belle des secrets de nous deux
     

    J'ai cherché si longtemps rien qu'un peu de bonheur
    Un rayon de soleil la lumière nouvelle
    Un envol d'hirondelles un gout de mirabelles
    Un rêve de dentelle un refrain éternel
     

    J'ai trouvé trop souvent le questionnement
    le pourquoi le comment du passé des tourments
    Le présent qui attend dans la fuite du temps
    L'espoir évidemment sans y croire vraiment
     

    Il fallut toi trouvant le plus profond de moi même
    Toi, à l'inconditionnel pour chaque je t'aime
     

    © Gil DEF. 19.12.2005
     


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    Ce soir, je te sens si près de moi
    Je caresse ta voix
    Tu ne m'attendais pas
    J'avais tant besoin de toi
    Tu me dis là bas
    Tu me dis tes pas, ta joie
    Tu me dis ta rue
    Un objet perdu
    Le bonheur inattendu
    Tu me dis les enfants
    Tu ris tes quinze ans
    Tu me dis maintenant
    Le futur au présent
    Et chaque instant
    Je t'aime tant
    Tu me dis le jour
    Ce jour
    Je t'aime mon amour
    Pour toujours
    Tu me dis la nuit
    Des étoiles à l'infini
    Je te lis une poésie
    Et te parles de Louis
    Fou des yeux d'Elsa
    Je ne verrai que toi
    Je n'aime que toi
    Tu es en moi
     

    Ce soir, je te sens si près de moi
    J'enlace ta voix
    Je ferme les yeux
    Je suis heureux
    Quel bonheur nous deux !
    Nos regards sur le même horizon
    Baisers en frissons
    Et je te prends dans mes bras
    Toujours la première fois
    Ta tête sur mon épaule
    Un oiseau blanc décolle
    Ta voix change de jour en jour
    Je t'aime mon amour
    Chaque mot est un encore
    On le dit fort
    Chaque mot est un toujours
    Sur nos instants trop courts
    Encore un mot te amo
    Suspendre le dernier instant
    J'embrasse ton dernier mot
    Jusqu'au dernier écho
    Te quiero te quiero te quiero
    Regarder l'océan
    Attendre le vent
    La voile du printemps
    Je t'aime tant
    Ce soir, tu es si près de moi
    Ici c'est là bas
    Déjà
     

    © Gil DEF. 11.03.2005
     


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     Comment le savoir
    Multitude de hasards
    Début de l'histoire

    Echos d’un grand soir
    Des frontières, de l’espoir
    Sans pouvoir y croire

    La lune opaline
    La rêverie imagine
    Grâce célestine

    La lune messagère
    Rapport des cœurs à l'envers
    Printemps en hiver

    La source d'eau claire
    Le sursaut de la rivière
    Revient la lumière

    Rêve d’innocence
    Eternel corps de la danse
    Mystère d'attirance

    L'océan immense
    Voiles de l'insolence
    Meurent les distances

    La première fois
    Jeu des caresses des voix
    Seul le temps dira

    Lettre de toi à moi
    Les mots de soupirs tout bas
    Si loin et si là

    Temps en suspension
    L'Intemporel des saisons
    Toujours l'émotion

    Le bleu et l'orange
    L'étrange ciel qui mélange
    Sourire d'un ange

    Ames en obsession
    Pensées en déraison
    La révélation

    Passion en moisson
    Gerbes de vie à foison
    Perdre la raison

    Joies, soleil et pluie
    La vie se fera jolie
    Temps des éclaircies

    Les jours et les nuits
    Toi et moi toujours l'envie
    Ile de paradis

    Donner sans reprendre
    Entendre ne pas se méprendre
    Le temps peut attendre

    A savoir s'apprendre
    Présence et surtout comprendre
    Et toujours surprendre

    Message au matin
    A remercier le destin
    Un chemin sans fin

    Parfums du jardin
    Le pain et les lendemains
    Tendresse des mains

    Un papillon bleu
    Magie du merveilleux
    Et se ferment les yeux

    Silences en aveux
    Etincelles et le feu
    Soupirs de nous deux

    Recto et verso
    Les poèmes les plus beaux
    En deux ou trois mots

    Quand les mains s'assemblent
    Les sourires se ressemblent
    Bien, si bien ensemble

    Désirs qui s'avouent
    Regards croisés comme un tout
    Secrets entre nous

    Souvenirs de larmes
    Le bonheur est en alarme
    Des vagues à l'âme

    C'est un soir sans toi
    Tout ce que tu es pour moi
    Nos bras ont si froid

    Regards sans discours
    Aux gestes le seul recours
    Encore et toujours

    Le parfum des fleurs
    Le printemps et le bonheur
    Demain un ailleurs

    Le présent se donne
    Tout du passé se pardonne
    L'avenir s'étonne

    Bleu en camaïeu
    Les larmes au bord des yeux
    A l'essentiel, bleues

    Dans la certitude
    Chemin de la plénitude
    Avec amplitude

    Il était une fois
    Ca commence comme ca
    Qui vivra, verra

    Conte d'avenir
    Rien ne peut me retenir
    La chance à saisir

    Loto du destin
    Un et un deux nous enfin
    Codes des parfums

    Le soleil couchant
    L'océan et un serment
    Les amants tremblant

    Lune qui sourit
    Etoiles pour l'infini
    Parcours de la nuit

    Le soleil levant
    Un seul rivage et le temps
    Eternellement

    Et tout recommence
    Le décor sans importance
    Pourvu que l’on danse


    © Gil DEF. 24.11.2005
     


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