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    Pourquoi veux tu que je t'oublie ?
    Tu es mon soleil, ma douce pluie
    Tu es ma joie, mon paradis
    La divine senteur de mes nuits
    L'unique objet de mes désirs
    La source chaude de mes plaisirs
    La seule escale de mes voyages
    L'unique image de mes mirages
    Tu es ma force, mon énergie
    Tu es ma soif, mon appétit
     

    Pourquoi veux tu que je t'oublie ?
    Tu es l'éphéméride de ma vie
    Tu es l'arbre en fleurs du printemps
    Espérance du plus beau serment
    Tu es la plus belle image d'été
    Exubérance d'un immense champ de blé
    Tu es le fruit mûr et parfumé de l'automne
    Renaissance d'un coeur qui déraisonne
    Tu es la neige immaculée de l'hiver
    Luminescence d'une veillée autour d'un sapin vert
     

    Pourquoi veux-tu que je t'oublie ?
    Tu es l'amour la vie
    Tu es la petite fille qui pense à son papa
    La fidèle amie qui guide bien des pas
    Le coeur qui s'élance et la main qui se tend
    Tu es la maman qui attend le sourire d'un enfant
    Tu es la femme qui se bat et qui donne
    La belle amante qui s'abandonne
    Tu es celle que j'espérais tant
    Celle à qui je pense à chaque instant
     

    Pourquoi veux-tu que je t'oublie ?
    Tu es toute ma poésie
    Un élan de coeur et des fleurs
    Des mots de bonheur de toutes les couleurs
    Des rimes jolies et des perles de vie
    Les plus belles choses un rêve infini
    Le merveilleux destin ta voix ta main
    Une croisée des chemins un premier matin
    Tes yeux tes yeux qui plongent dans l'océan
    L'étreinte des amants caressés par le vent
    Une robe en dentelle et un amour éternel
    Tu es ma langue belle ma douce ritournelle
     

    Pourquoi veux-tu que je t'oublie ?
    Tu es ma chérie tu es ma vie
    Maintenant et pour toujours
    Je t'aime ô mon amour
     

    © Gil DEF. 30.10.2004
     


    12 commentaires
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    Je te vois dans les sourires de ta voix
    Je te vois dans la danse de tes pas
    Je te vois dans le cercle de tes bras
    Je te vois du bout de mes doigts
     

    Je te vois, je te vois Je sais que tu me crois
    Je t'aime et je te vois
     

    Je te vois sur l'écran de mes paupières
    Je te vois dans l'obscurité de ma lumière
    Je te vois dans l'écho de mes mystères
    Je te vois dans le silence de ma prière
     

    Je te vois, je te vois
    Tu sais que je te crois
    Tu t'aimes et je te vois
     

    Je te vois dans chaque baiser qui suspend le temps
    Je te vois dans ton parfum qui fête l'éternel printemps
    Je te vois à chaque nouveau serment emporté par le vent
    Je te vois dans le rire de nos enfants face à l'océan
     

    Je te vois, je te vois
    Je sais que tu m'aimes
    Tu sais que je t'aime
     

    Je te vois dans les frissons de ton corps
    Je te vois dans tes lèvres qui désirent encore
    Je te vois dans nos vagues qui déferlent si fort
    Je te vois dans le jardin secret du temple d'or
     

    Je te vois, je te vois
    Je te vois à chacun de tes je t'aime
    Je t'aime et je te vois
     

    © Gil DEF. 10.01.2005
     


    6 commentaires
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    Et me voilà écrivant des choses étranges
    Te parlant de notre amour comme d’un big-bang
    Comme d’un ciel où le bleu se mêle à l’orange
    Comme d’une espérance qui se croyait exsangue
     

    Comme un rêve éveillé du fleuve Yang Tsé Kiang
     

    Je ne sais pas t’expliquer tout ce qui change
    Je ne sais rien des forces du yin et du yang
    Je fais ce curieux voyage où se mélangent
    D’anciens rivages et des rêves qui tanguent
     

    Il n’est pas tranquille le cours du Yang Tsé Kiang
     

    Rassure toi rien de cela ne me dérange
    C’est une joie de parler dans une autre langue
    Loin des sentiers battus d’un parcours où tout s’arrange
    D’une passion inattendue encore dans sa gangue
     

    Combien est fertile le lit du Yang Tsé Kiang
     

    J’ai gardé foi en l’amour j’en fais les louanges
    En poésie au métronome en bing et bang
    Avec toi, déjà, je sais tout ce qu’il engrange
    Qu’il éveille les rêves comme le Yang Tsé Kiang
     

    Qu’il donne et pour longtemps comme le Yang Tsé Kiang
     

    © Gil DEF. 20.07.2006
     


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  • Laisse-moi dessiner dans l'encre de la nuit
    Juste ton doux regard, ce merveilleux miroir
    Et des chemins de pluie où s'emmêlent nos envies
    Pour que se dise l'espoir, qu'on a raison d'y croire
     

    La chance et le hasard
    Il n'est jamais trop tard
     

    Viens t'apaiser au bleu qui fleurit le printemps
    Et glisse-toi dans mes mots en sésame de l'écho
    J'envolerai les cieux à planer chaque instant
    Pour surprendre le sourire d'un ciel bien plus haut
     

    Rien ne sera plus beau
    Rien ne sera plus beau
     

    Que les ailes dépliées d'un papillon bleuté
    Se posent sur la fleur dans l'émoi d'un parfum
    En battements légers en frissons effleurés
    Qui donneront l'envie d'un bel été sans fin
     

    Semer sourire demain
    S'aimer serrer nos mains
     

    A tout ce que je tais du secret des désirs
    En silence d'un duo je t'y ferai oser
    Pour un verger sans dieu où nul ne peut venir
    Où nous pourrons goûter des fruits mûrs et sucrés
     

    Et garder nos secrets
    Et garder nos secrets
     

    Les étoiles s'y feront le vœu de l'infini
    Après avoir joué les arpèges les plus doux
    Laisse-moi dessiner le clair de lune joli
    Juste pour un soupir ... un matin rien qu'à nous
     

    L'amour et rien que nous
    Le bonheur ... rien que nous
     

    © Gil DEF. 03.07.2005
     


    4 commentaires
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    Ô qu'il serait doux de les retrouver
    A chaque matin à chaque réveil
    Aux premières lueurs d'un nouveau soleil
    Ce visage apaisé au sourire léger
    Cette peau parfumée cette jambe dénudée
    Dans les plis du drap en pastel froissé
     

    Ô qu'il serait doux de pouvoir lui dire
    Aux premiers instants de ce nouveau jour
    Bienvenue mon ange je t'aime mon amour
     

    Ô qu'il serait doux de les rencontrer
    Cette main ce chemin à chaque soleil
    Ce regard sans fin d'un jour en merveilles
    Ce baiser sucré et ces lèvres rosées
    Cette fleur éveillée cette corolle osée
    Ces perles de rosée en tendresse posée
     

    Ô qu'il serait doux de pouvoir offrir
    Un nouveau printemps à chaque bonjour
    Encore et toujours je t'aime mon amour
     

    Ô qu'il serait doux de les déposer
    Ces mots soupirés aux couleurs de miel
    Après un baiser en bel arc-en-ciel
    Ces regards d'envie sur ton corps drapé
    Ces caresses en pluie à faire frissonner
    Ces désirs de nuit en lunes orangées
     

    Ô qu'il serait doux de pouvoir cueillir
    Ces premiers instants encore toujours
    Je t'aime mon amour, je t'aime mon amour
     

    © Gil DEF. 21.06.2005
     


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