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Par Gil1 le 9 Juin 2007 à 07:54
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Les mots de l'amour encore et toujours
Comme au premier jour jusqu'au dernier jour
S'uniront nos voix qui disent tant déjà
En deux mots tout bas notre unique foi
La joie d'ici-bas et nous deux pour foi
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'espérait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
L'invicible envie de tracer la vie
En chance inouïe après l'éclaircie
S'uniront nos mains et nos deux destins
A chaque matin sur tous les chemins
Du présent certain d'avenir sans fin
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'espérait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Les aveux des rêves des désirs sans trêve
De la douce fièvre de nos nuits trop brèves
Se lieront les secrets de l'amour si vrai
Qui vit à jamais sans un seul regret
Fait de l'imparfait de sublimes reflets
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'espérait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Le lien qui se tresse de gestes de tendresse
Des actes qui s'empressent qui jamais ne cessent
S'uniront nos coeurs dans la candeur
Du parfum des fleurs aux tendres couleurs
Dans chacune des heures du plus grand bonheur
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'attendait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
L'émotion de tout le pardon pour nous
Le don avant tout la passion surtout
Vivront tour à tour les nuits et les jours
Aux plus beaux contours des instants trop courts
Sublimant l'amour et nous pour toujours
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'attendait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
La belle ritournelle des vols d'hirondelles
Le pastel d'un ciel bleu pour l'essentiel
Dureront longtemps les vents des serments
Du soleil couchant au soleil levant
La nuit des amants éternellement
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'attendait pas
Tant qu'il y aura entre toi et moi
Tout cet amour que l'on n'espérait pas© Gil DEF. 29.11.2005
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Par Gil1 le 5 Juin 2007 à 18:40
Chaque matin, j'ouvre ma fenêtre
Je la verrai peut-être
Belle silhouette passante
De sept heures trente
Toujours de noire vêtue
Quel deuil portes-tu
Un amour perdu ?
Tu traverses l'esplanade
Tu ne pars pas en promenade
Tu hâtes le pas
Tu ne te retournes pas
Instants trop courts
Au début de chaque jour
Je t'ai déjà perdu
Tu as disparu
Au coin de l'avenue
Ce matin, je n'ai pas ouvert ma fenêtre
J'étais sur l'esplanade
Mon coeur battait la chamade
Je t'ai attendu
Tu n'es pas venue
As-tu rencontré un bel inconnu ?
Je ne peux t'imaginer
Aux bras d'un étranger
Où l'aurais-tu rencontré ?
Demain, je n'ouvrirai pas ma fenêtre
Je serai sur l'esplanade
Mon coeur battra l
a chamade
Tu ne seras plus
De noire vêtue
Je verrai ton visage
Sentirai ton parfum à ton passage
Tu auras un beau sourire
Que je voudrai cueillir
Tu me verras peut être
Tu ne hâteras pas le pas
Et tu te retourneras
Pour la première fois
Peut être
© GIL DEF. 31.08.2004
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Par Gil1 le 22 Mars 2006 à 12:28
Là où je t'emmènerai
Au plus loin de nos regrets
Au plus près de nos secrets
L'amour vivra de sa loi
Qu'on écrira toi et moi
Si le soleil savait
Toujours il se lèverait
A chaque matin nouveau
Pour le chant de l'oiseau
A l'ouverture des rideaux
Sur un frisson de ta peau
Tout simplement pour trois mots
Evidemment en écho
Là où je t'emmènerai
Les décors seront parfaits
Pour les mots que l'on sait
De déraison qu'on admet
Là où je t'emmènerai
Au plus loin des mots abstraits
Au plus près de ce qu'on est
L'amour vivra de la joie
Se plaira sous tous les toits
Et si le temps le savait
Partout il s'étourdirait
Dans les instants qu'on détient
Coeur à coeur main dans la main
Dans les nuits qu'on retient
Corps à corps jusqu'au matin
Renaissant des lendemains
Et toujours sur nos chemins
Là où je t'emmènerai
Les accords seront parfaits
Pour les gestes que l'on fait
En raison d'un amour vrai
Là où je t'emmènerai
Pour le moins ce qu'on pourrait
Pour le plus ce qu'on rêvait
L'amour ouvrira les bras
De toutes les premières fois
Et si le monde savait
Peut être qu'il applaudirait
A la plus belle des histoires
Du jamais il n'est trop tard
Par la chance des hasards
Qui s'avouent dans les regards
Où les étoiles sont des phrases
Pour sauver enfin l'espoir
Là où je t'emmènerai
Les encore seront parfaits
Du pardon de l'imparfait
Aux passions d'un amour vrai
© Gil DEF. 18.02.2006
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Par Gil1 le 2 Février 2006 à 11:57
Sans ta voix
Juste un jour ... je ne sais pas pourquoi
Je sais ce n'est pas la première fois
La distance fait sa loi de tant d'aléas
Et pourtant ... sont plus fortes à chaque fois
Ces vagues à l'âme dans leur importance
Me pousse vers toi la vague de l'évidence
Me repousse loin de toi la vague de l'impuissance
Et obsédantes, elles recommencent
Je retrouve le lointain de mon rivage
Le temps est à l'échouage
J'apprends l'heure à compte à rebours d'un sauvetage
Attendre sans pouvoir quoi que ce soit
Attendre ce qui me rassurera
Attendre ... Apprendre enfin que pour toi tout va
J'ai tant besoin de toi
As-tu entendu mes mots tout bas ?
© Gil DEF. 02.02.2006
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Par Gil1 le 21 Janvier 2006 à 13:06
Ô ma Reine, vous savez tous les dangers
Tous les combats que j'ai toujours affrontés
Sans jamais faiblir l'ardeur de mon bras armé
A pourfendre les ennemis de Votre Majesté
A défendre ce beau royaume dans ses lois sacrées
Ô ma Reine, vous avez comblé ce chevalier
Du plus grand honneur qu'il n'eut jamais espérer
Au titre de connétable le Roi m'a élevé
Il le voulut dans la plus grande solennité
J'ai su qu'à vous il avait faveur accordée
Ô ma Reine, vous avez comblé ce chevalier
De toutes les attentions que vous puissiez lui donner
Tant de confiance jusqu'au cadeau de son épée
Avec quatre pierres précieuses aux reflets bleutés
De la forme de ces larmes que parfois vous versiez
Ô ma Reine, aujourd'hui, il ne faut pas pleurer
Vous savez déjà que le trépas m'a emporté
Que dans ce cas ce pli vous serait destiné
Je me devais de mon secret me délivrer
Pour que Dieu m'accorde pardon au Jugement Dernier
Ô ma Reine, j'ai été pour mon sort bien ingrat
Trouvant injuste ma destinée, je perdis foi
Espérant sans le droit trouvé dans votre voix
Dans votre regard la réponse à mes émois
L'amour qui ne pouvait être plus roi que le Roi
Ô ma Reine, pardonnez moi, priez pour moi
J'ai gardé cette foi que Dieu vous écoutera
Et si vous ne pleurez pas, Il me pardonnera
© Gil DEF. 25.11.2005
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