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    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Les mots de l'amour encore et toujours
    Comme au premier jour jusqu'au dernier jour
    S'uniront nos voix qui disent tant déjà
    En deux mots tout bas notre unique foi
    La joie d'ici-bas et nous deux pour foi

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'espérait pas

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    L'invicible envie de tracer la vie
    En chance inouïe après l'éclaircie
    S'uniront nos mains et nos deux destins
    A chaque matin sur tous les chemins
    Du présent certain d'avenir sans fin

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'espérait pas

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Les aveux des rêves des désirs sans trêve
    De la douce fièvre de nos nuits trop brèves
    Se lieront les secrets de l'amour si vrai
    Qui vit à jamais sans un seul regret
    Fait de l'imparfait de sublimes reflets

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'espérait pas

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Le lien qui se tresse de gestes de tendresse
    Des actes qui s'empressent qui jamais ne cessent
    S'uniront nos coeurs dans la candeur
    Du parfum des fleurs aux tendres couleurs
    Dans chacune des heures du plus grand bonheur

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'attendait pas

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    L'émotion de tout le pardon pour nous
    Le don avant tout la passion surtout
    Vivront tour à tour les nuits et les jours
    Aux plus beaux contours des instants trop courts
    Sublimant l'amour et nous pour toujours

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'attendait pas

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    La belle ritournelle des vols d'hirondelles
    Le pastel d'un ciel bleu pour l'essentiel
    Dureront longtemps les vents des serments
    Du soleil couchant au soleil levant
    La nuit des amants éternellement

    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'attendait pas
    Tant qu'il y aura entre toi et moi
    Tout cet amour que l'on n'espérait pas

    © Gil DEF. 29.11.2005
     


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    Chaque matin, j'ouvre ma fenêtre
    Je la verrai peut-être
    Belle silhouette passante
    De sept heures trente
    Toujours de noire vêtue
    Quel deuil portes-tu
    Un amour perdu ?
    Tu traverses l'esplanade
    Tu ne pars pas en promenade
    Tu hâtes le pas

    Tu ne te retournes pas
    Instants trop courts
    Au début de chaque jour
    Je t'ai déjà perdu
    Tu as disparu
    Au coin de l'avenue

    Ce matin, je n'ai pas ouvert ma fenêtre
    J'étais sur l'esplanade
    Mon coeur battait la chamade
    Je t'ai attendu
    Tu n'es pas venue
    As-tu rencontré un bel inconnu ?
    Je ne peux t'imaginer
    Aux bras d'un étranger
    Où l'aurais-tu rencontré ?

    Demain, je n'ouvrirai pas ma fenêtre
    Je serai sur l'esplanade
    Mon coeur battra l
    a chamade
    Tu ne seras plus
    De noire vêtue
    Je verrai ton visage
    Sentirai ton parfum à ton passage
    Tu auras un beau sourire
    Que je voudrai cueillir
    Tu me verras peut être
    Tu ne hâteras pas le pas
    Et tu te retourneras
    Pour la première fois
    Peut être


    © GIL DEF. 31.08.2004
     


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    Là où je t'emmènerai
    Au plus loin de nos regrets
    Au plus près de nos secrets
    L'amour vivra de sa loi
    Qu'on écrira toi et moi
    Si le soleil savait
    Toujours il se lèverait
    A chaque matin nouveau
    Pour le chant de l'oiseau
    A l'ouverture des rideaux
    Sur un frisson de ta peau
    Tout simplement pour trois mots
    Evidemment en écho
     

    Là où je t'emmènerai
    Les décors seront parfaits
    Pour les mots que l'on sait
    De déraison qu'on admet
     

    Là où je t'emmènerai
    Au plus loin des mots abstraits
    Au plus près de ce qu'on est
    L'amour vivra de la joie
    Se plaira sous tous les toits
    Et si le temps le savait
    Partout il s'étourdirait
    Dans les instants qu'on détient
    Coeur à coeur main dans la main
    Dans les nuits qu'on retient
    Corps à corps jusqu'au matin
    Renaissant des lendemains
    Et toujours sur nos chemins
     

    Là où je t'emmènerai
    Les accords seront parfaits
    Pour les gestes que l'on fait
    En raison d'un amour vrai
     

    Là où je t'emmènerai
    Pour le moins ce qu'on pourrait
    Pour le plus ce qu'on rêvait
    L'amour ouvrira les bras
    De toutes les premières fois
    Et si le monde savait
    Peut être qu'il applaudirait
    A la plus belle des histoires
    Du jamais il n'est trop tard
    Par la chance des hasards
    Qui s'avouent dans les regards
    Où les étoiles sont des phrases
    Pour sauver enfin l'espoir
     

    Là où je t'emmènerai
    Les encore seront parfaits
    Du pardon de l'imparfait
    Aux passions d'un amour vrai
     

    © Gil DEF. 18.02.2006
     


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    Sans ta voix
    Juste un jour ... je ne sais pas pourquoi
    Je sais ce n'est pas la première fois
    La distance fait sa loi de tant d'aléas
    Et pourtant ... sont plus fortes à chaque fois
    Ces vagues à l'âme dans leur importance
    Me pousse vers toi la vague de l'évidence
    Me repousse loin de toi la vague de l'impuissance
    Et obsédantes, elles recommencent
    Je retrouve le lointain de mon rivage
    Le temps est à l'échouage
    J'apprends l'heure à compte à rebours d'un sauvetage
    Attendre sans pouvoir quoi que ce soit
    Attendre ce qui me rassurera
    Attendre ... Apprendre enfin que pour toi tout va
    J'ai tant besoin de toi
    As-tu entendu mes mots tout bas ?
     

    © Gil DEF. 02.02.2006
     


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    Ô ma Reine, vous savez tous les dangers
    Tous les combats que j'ai toujours affrontés
    Sans jamais faiblir l'ardeur de mon bras armé
    A pourfendre les ennemis de Votre Majesté
    A défendre ce beau royaume dans ses lois sacrées
     

    Ô ma Reine, vous avez comblé ce chevalier
    Du plus grand honneur qu'il n'eut jamais espérer
    Au titre de connétable le Roi m'a élevé
    Il le voulut dans la plus grande solennité
    J'ai su qu'à vous il avait faveur accordée
     

    Ô ma Reine, vous avez comblé ce chevalier
    De toutes les attentions que vous puissiez lui donner
    Tant de confiance jusqu'au cadeau de son épée
    Avec quatre pierres précieuses aux reflets bleutés
    De la forme de ces larmes que parfois vous versiez
     

    Ô ma Reine, aujourd'hui, il ne faut pas pleurer
    Vous savez déjà que le trépas m'a emporté
    Que dans ce cas ce pli vous serait destiné
    Je me devais de mon secret me délivrer
    Pour que Dieu m'accorde pardon au Jugement Dernier
     

    Ô ma Reine, j'ai été pour mon sort bien ingrat
    Trouvant injuste ma destinée, je perdis foi
    Espérant sans le droit trouvé dans votre voix
    Dans votre regard la réponse à mes émois
    L'amour qui ne pouvait être plus roi que le Roi
     

    Ô ma Reine, pardonnez moi, priez pour moi
    J'ai gardé cette foi que Dieu vous écoutera
    Et si vous ne pleurez pas, Il me pardonnera
     

    © Gil DEF. 25.11.2005
     


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