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    Un soir
    Un café noir cafard
    Un hasard … Un regard
    Il était une fois
    Toi et moi … Déjà
    On se reconnaît
    Pourquoi … Comment
    Nos mots en émoi
    Comment croire à ça
    On ne le dit pas
    Et si c'était ça
    Pourquoi pas
    La nuit est là
    Tu t'en vas je reste là
    Où vont tes pas … Déjà

    Une plume, la lune
    Qui sourit
    Tu la vois aussi
    Rêverie…

    Un autre soir
    Ce n'est plus le hasard
    Nos regards
    Plaisir de se revoir
    Il était une fois
    Une danse
    Pourquoi pas
    Depuis si longtemps déjà
    Et toi et moi
    Comme ça comme ça
    Joue contre joue
    Un frisson s'avoue
    Le mystère renaît
    Pourquoi … Comment
    Un mot tout bas … Déjà
    Comment croire à ça
    Ce serait donc ça
    Il était une fois
    Un baiser est là
    Nos bras nos pas
    Ne me quitte pas … Déjà

    Passé coeurs blessés
    Plus d'importance
    Destin quelle chance
    Danse

    Et des soirs
    La belle histoire
    A y rêver à y croire
    Un homme une femme
    Je t'aime je t'âme
    Il était une fois
    Deux voix
    Pourquoi … Comment
    Comment croire à ça

    Et une lettre
    De toi à moi
    De moi à toi
    Recto verso … Rassure moi
    Dis moi que c'est ça
    Rien de mieux ici bas
    Les lignes de nos mains
    Croisent enfin leurs destins
    La vague part et revient
    Juste une larme
    Parfois pourquoi une alarme
    Coeurs sans armes
    A s'apprendre à se comprendre
    A se surprendre
    Un seul chemin
    Et l'horizon sans fin
    Rêves croisés dans tous les décors
    Toujours encore
    Il était une fois
    Un jardin la lune s'attardait
    En sourire de nos secrets
    Une île aller sans retour
    Pour toujours
    La raison de la déraison
    A toutes les saisons
    Une maison
    Te amo mi alma
    Te amo mi vida … Déjà
    Le jour la nuit
    Le soleil la pluie
    Jamais ne s'oublient
    L'envie la vie
    La poésie

    Mots et silences en dentelle
    Voyages en intemporel
    Amour à l'éternel
    Bleu du ciel

    C'était donc ça
    Il était une fois
    Pour longtemps
    Longtemps
    Retiens une nuit de blanc satin
    Reviens l'aube du premier matin
    A chaque nouveau soleil
    Les regards s'émerveillent
    Les lèvres sont vermeilles
    Les paysages sont merveilles
    Encore toujours
    Bienvenue à ce jour

    C'était donc ça
    Il était une fois
    Enfin
    Le merveilleux destin
    Toi et moi
    Il était une fois
    Nous
    L'amour
    C'était donc ça

     

    © Gil DEF. 08.07.2005
     


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    Sous les nuages d'hiver
    Entre le ciel gris et la terre
    Mes vers n'ont trouvé qu'un coeur à l'envers
    Je n'avais pas tes yeux clairs
    Pour mettre du vert sur les vagues de la mer
    Ma poésie était bonsoir tristesse
    Mon soleil n'avait pas de caresses
    Il envoyait des signaux de détresse
    De mon rivage partaient des SOS
    La vague revenait sans cesse

    En désespoir sans écho de tendresse
    Je n'ai alors écrit
    Que des souvenirs en parapluie
    Coeur clair de lune chagrin
    Coeur tristesse de Chopin
    Coeur matin crachin
    Coeur prières du moulin
    Aux quatre vents éteints
    Et qui pleure au matin

    C'est à la nuit
    Que ma plume se confie
    Et j'écris
    J'écris
    J'écris à l'encre de mes insomnies
    Je ne suis plus seul la lune est mon amie

    Entre le ciel et la mer
    Entre l'ombre et la lumière
    Mes vers ont mélangé le bleu et le vert
    L'horizon n'avait plus de frontières
    J'ai pu regarder la mer j'y voyais des yeux clairs
    Ma poésie est devenue espoir
    Un regard qui croise un regard
    Une voix et une voix jamais trop tard
    Un parfum pour un parfum encore y croire
    Un main et une main enfin pouvoir
    Un coeur pour un coeur sans le savoir
    Et j'ai alors écrit
    Les mystères d'un funambule de l'envie
    Coeur vagues à l'âme mais toi enfin
    Coeurs concerto à quatre mains
    Coeurs si loin si là ta voix et demain
    Coeurs les voiles du moulin
    Au vent du lendemain
    Et un sillon pour le grain

    C'est à aujourd'hui
    Que ma plume s'étourdit
    Et j'écris
    J'écris
    J'écris à la lumière de l'éclaircie
    Je ne suis plus seul une amie l'écrit aussi

    Quittant la pesanteur de la terre
    Dans l'infini de l'éther
    Mes vers ont effacé les frontières
    Au rayon vert de la nouvelle sphère
    J'ai pu rêver face à la mer j'ai trouvé tes yeux clairs
    Ma poésie est devenue papillon
    Battements légers belle saison
    Sur l'épaule nue posé et un frisson
    Au vent léger une belle moisson
    De baisers qui s'affolent à déraison
    Et un seul chemin pour oraison
    Et j'ai alors écrit
    Juste une larme d'un bonheur qui se vit
    Coeur troubadour et baladin
    Coeur bandonéon et musicien
    Coeur tournent les ailes du moulin
    Quête aux quatre vents magicien
    Sur des silences de nuits de blanc satin

    C'est grâce à toi mon embellie
    Que ma plume s'éblouit
    Et j'écris
    J'écris
    J'écris suivant tes pas le jour la nuit
    Je ne suis plus seul je te vois et jamais ne t'oublie

    Dans un nouvel univers
    Dans le miroir de ton regard clair
    Mes vers en bleu et orange s'éclairent
    Dans tes bras qui lèvent chaque nouvelle sphère
    Ma poésie est tendresse
    De nos regards qui s'empressent
    De tout dire de l'envie d'une caresse
    D'un baiser et que jamais ne cesse
    Le chemin des mains qui se tressent
    Liant les coeurs à l'unisson sans cesse
    Et alors j'écris
    Je suspends le temps à l'intemporel de la vie
    Coeurs entrer le soleil chaque matin
    Coeurs l'amour notre destin
    Coeur pour coeur demain
    Et les ailes du moulin
    Aux quatre vents certains
    Qui se croisent et regardent au loin

    C'est grâce à toi mon ange
    Que ma plume surprend à l'étrange
    Et j'écris
    J'écris
    Bleu et orange un ciel en métamorphose
    L'oiseau qui dans la main se pose
    Et le plus beau poème
    Un je t'aime
    Promesse caresse à l'adresse
    De ton nom tendresse
    Jusqu'à la naissance d'un frisson
    Jusqu'à l'essence de l'émotion
    Trois mots qui osent
    Au nom de la rose

    © Gil DEF. 06.07.2005
     


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    Ce matin je rêve de voyage
    Une île déserte des fleurs sauvages
    La plage du sable un coquillage
    Un beau soleil pas un nuage
    Et le sourire sur ton visage
    Alors je prépare mes bagages

    C'est décidé je pars en voyage
    Je vais à l'agence des mirages
    Je choisis les plus belles images
    Deux billets prêts au décollage
    Et la surprise sur ton visage
    Que faut-il mettre dans les bagages ?

    Puisque que je t'emmène en voyage
    Tu pleures tu ris tu n'es plus sage
    Ton regard rêve vue sur la plage
    Le soleil se couche sur le rivage
    Tes lèvres sont à leur avantage
    Tes baisers au milieu des bagages

    Demain déjà on part en voyage
    La météo est sans nuages
    Ton maillot de bain à l'essayage
    Tes bras m'enlacent au passage
    Je te rejoins sur un beau rivage
    Avant de fermer tous les bagages

    On ne rêve pas on part en voyage
    L'avion s'envole vers les nuages
    Je suis l'otage dès le décollage
    De ton sourire sur ton visage
    J'ouvre les yeux sur tes paysages
    Il y a l'amour dans nos bagages

    On est enfin au bout du voyage
    L'avion est à l'atterrissage
    A l'hôtel plus envie d'être sages
    Quelques jours ce serait dommage
    Il en faudrait bien davantage
    Pour explorer tous ces rivages
    Pas de besoin de tous ces bagages
    Aller sans retour dernier message

    © Gil DEF. 04.07.2005
     


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    C'est toi la belle que j'irais retrouver
    Et toi la belle que j'emmènerai danser
    C'est toi la belle que j'oserai embrasser
    Et toi la belle que je veux fiancer

    Et si le vent peut porter l'oiseau blanc
    Et si le temps veut écrire le printemps
    Alors pour nous l'arbre gravera le jour
    Et pour nous la sève naîtra l'amour
    Et le hasard attend le quai d'une gare
    Et ton regard trouve enfin mon regard
    Pour moi ma belle, ce jour a goût de miel
    Ô toi ma belle, je t'aimerai jusqu'au ciel

    C'est toi ma belle je t'ai enfin trouvé
    Tu es si belle je t'emmène danser
    Tu es si belle tu me rends mon baiser
    C'est toi ma belle te voilà fiancée

    Alors le jour rêve d'enchanter son tour
    Alors la nuit joue tant de ses atours
    Pour toi ma belle l'ombre fleurit de l'amour
    Pour toi ma belle la lune sourit à toujours
    Et puis le ciel s'envole à l'intemporel
    Et le soleil t'embrasse en vermeil
    Et on s'aime tant que la nuit se surpend
    A toi ma belle je te fais le serment

    C'est toi ma belle tu es ma fiancée
    Je sais ma belle tu veux toujours danser
    Et toi si belle tu me prends un baiser
    Et toi ma belle, tu voudrais te marier

    Alors le ciel tourne une robe de dentelle
    Alors le soleil embrasse à l'immortel
    Et la musique enlace la première danse
    Et les coeurs pour un toujours s'élancent
    Et puis la nuit sème l'infini sans voile
    Et l'océan suit le chemin des étoiles
    Et toi ma belle tu surprends les parfums
    Pour toi ma belle la lune pleure au matin

    C'est toi ma belle tu ris à mes côtés
    Bien sûr ma belle on va toujours danser
    Bien sûr ma belle tu aimes nos baisers
    Tu es ma belle et nous sommes mariés

    Et si nos jours peuvent s'étonner encore
    Et si nos nuits peuvent éblouir si fort
    C'est que pour nous le soleil brûle d'amour
    Rien que pour nous la lune sourit toujours
    Et l'océan répète sans fin nos serments
    Et le printemps renaît passionnément
    C'est toi ma belle, tu l'es depuis longtemps
    C'est toi ma belle tu l'es éternellement

    © Gil DEF. 03.03.2005
     


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    C'est par magie déjà
    Les premiers mots ici là bas
    Se touchent du bout des doigts
    Sans savoir le pourquoi
    De cette attirance de cet émoi
    Quand les mots ne veulent pas
    Ni souffrir ni se dire toi et moi
    On ne peut pas croire à ça
    C'est merveilleux regarde moi
    Ne me quitte pas

    Je disais moi quoi
    Et toi
    Tout bas
    Je t'aime

    C'est par magie encore
    La plume sur une lyre en or
    Rêve d'un je t'aime si fort
    Que la lune ferme les yeux du décor
    Et on voit l'oiseau traverser l'océan
    Retrouver le printemps
    Et le rivage unir deux amants
    Dans un pli du temps
    La plage danse éternellement
    Ils s'aiment comme des enfants

    Je disais déjà
    C'est toi
    C'est moi
    Je t'aime

    C'est par magie un jour
    Le soupir d'un instant trop court
    Respire si fort tous les jours
    Un jour des baisers toujours
    Que la nuit sème les étoiles à l'infini
    Sur les chemins d'une île en paradis
    Les mains tressent le blé de la moisson
    Les parfums affolent les saisons
    Le bleu écrit l'orange à déraison
    Aimer à perdre la raison

    Je disais alors
    Encore
    Si fort
    Je t'aime

    C'est par magie du nous
    Que chaque mot sait tout
    Que chaque silence dit tout
    Que l'autre compte plus que tout
    Que chaque instant est si doux
    En envies qui s'avouent
    Sur des voix qui se caressent
    S'enlacent en désirs qui s'empressent
    Et jamais ne se lassent d'un poème
    C'est si peu dire que je t'aime

    Et je dis chaque jour
    Toujours
    Ô mon amour
    Je t'aime

    © Gil DEF. 18.04.2005
     


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